Urine de 24h, on verifie quoi ? T3, T4, TSH ou Iode ?

Bonjour

  J'ai pas bien saisi le principe et l'objectif de cette technique ...
  Quelqu'un pourrai m'expliquer ?

  Merci, et bravo pour ce que vous faites.

NOUVELLE ATTEINTE CALOMNIEUSE du pr MAITER...l'ensemble du contenu (>>30 pages!)  vous permettra de comprendre les subtilités qui justifient de préférer:
étudier un débit urinaire  (de production!/24 h)  DE T3 ET T4 (ce qui revient à étudier la puissance réelle du moteur (T3) ou sa puissance potentielle (T4) ET ce rapporté à la créatininurie de 24 h (le poids du véhicule) : autrement dit la capacité de travail/ 24 h  pour un individu donné.CEST UN  NOTION DYNAMIQUE..

Etudier T3 & T4 dans le sang est aussi utile que découvrir la photo du véhicule, c'est une notion STATIQUE!!
C'EST HELAS! on ne le redira jamais assez, le point de vue des endocrinologues universitaires mentionnés déjà et les autres endocrinos indépendants majoritaires qui s'alignent aveuglement ,mais il ya encore  aussi  des médecins généralistes qui suivent non moins aveuglément les recommandations de sociétés "savantes"(SSMG??) .

 De mon séjour au congrès de la SSMG à KOS du 25/04/2015 au 2/05/2015 , je ne puis cacher mes réflexions entamées il y a déjà +/-5 ans lors des manifestations précédentes:

Sociétés inféodées aux gardiens de l'ORTHODOXIE qui tyrannise(nt)  à coup de EBM ET GUIDELINES au profit des sociétés financério-pharmaceutiques , puisqu'il faut 300.000 EUROS pour valider un quelconque étude scientifique  (CONFIDENCE reçue lors de ce même congrès auprès du  past-président de la SSMG: le dr. Luc Lefebvre).
Confidences déjà obtenues auprès d'autres confrères de cette même et très sérieuse SSMG (= société scientifique de médecine générale): les dr GIET, VAN WALEWIJN,FIRQUET : pas d'étude possible par cette société pour valider une approche scientifique et DONC IL NE RESTE QU'A SUIVRE les dictats ailleurs (et payables donc ailleurs)  présentés comme études validées. ( et donc DOUTES éthiques sur les commanditaires évidemment)

Cela me fait penser à l'esclave romain de l'antiquité (la SSMG) , qui après une longue période d'assujettissement laborieux (sérieux!) refuse son autonomie scientifique: elle n'ose affronter seule son destin qui est d'établir ses propres normes de travail et non d'additionner celles des spécialistes!!ELLE (la SSMG!) a décidé de donner aux spécialistes la verge qui les frappera  au lieu de profiter de la liberté créatrice clinique et thérapeutique.

C'EST  LA PEUR de la liberté , LA PEUR DE DEPLAIRE AUX SPECIALISTES  QUI MAINTIENDRONT LA SSMG dans L'IGNORANCE de ses capacités CURATIVES.

Il doit lui être reconnu toutefois qu'elle s'affranchit  dès le départ de sa création et jadis courageusement des firmes pharmaceutiques qui ne sponsorisent pas les rendez vous séminaires / congrès??.
 
Ainsi sont les moutons de panurge, pour leur malheur surtout, de ne jamais pouvoir guérir mais d'être satisfaits de faire "comme" le professeur..;

MAIS ATTENTION....

L'Approche décrite içi plus haut (préférer le dosage urinaire et la clinique) ne permet pas de se lancer aveuglément et sans expérience solide dans un traitement thyroïdien  car  comme me le rappelait ma CONSOEUR  TRES COMPETENTE "CHARLOTTE B........." lors du congrès de KOS (île Grecque qui hébergea le premier médecin moderne ,HIPPOCRATE, 4-5 siècle avant J-C!) :

il faut TOUJOURS PRIVILEGIER LA CLINIQUE  pour diagnostiquer et SUIVRE UN TRAITEMENT SUBSTITUTIF THYROIDIEN...
Surveiller que le patient par surdosage ne risquera pas le " burnoutage" par effondrement de sa fonction surrénallienne ultérieure. (Fatigue...)

Donc les choses médicales resteront du grand art..